Seul… avec vous
Seul… avec vous / 2001
Les chansons
1. Je n'attendais que vous +
On garde un soleil
Au fond de nous,
Un feu qu’on réveille
Malgré tout,
Malgré les douleurs d’hier
Tout à coup on espère
Au hasard d’un jour
Pareil aux autres,
On se sent moins lourd,
La vie nous porte
Pour un regard de lumière
Un seul aveu à faire
Je n’attendais que vous
Je n’espérais que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n’attendais que vous
Nulle autre que vous
J’attendais votre voix, vos soupirs
Donnez-moi votre air, qu’enfin je respire
On garde un peu d’or
Au fond de l’âme
Mais le temps dévore,
Éteint la flamme,
Jusqu’à ce jour de hasard
Et soudain on repart
On remplit nos yeux
D’autres couleurs,
Est-ce qu’on y voit mieux?
Est-ce qu’on est meilleur?
Quand tout redevient si clair
Un seul aveu à faire
Je n’attendais que vous
Je n’espérais que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde est trop grand
Trop long le chemin
Je n’attendais que vous
Nulle autre que vous
J’attendais votre voix, vos soupirs
Donnez-moi votre air, qu’enfin je respire
Vous
Je n’attendais que vous
Je n’espérais que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n’attendais que vous
Nulle autre que vous
J’attendais votre voix, vos soupirs
Donnez-moi votre air, qu’enfin je respire
Et nulle autre que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
J’en ai mis du temps pour trouver vos mains
Vous Vous
Jacques Veneruso
2. Gitan +
Gitan
Je rêvais enfant
De vivre libre comme un gitan
Je voyais des plages
De sable noir
Où couraient des chevaux sauvages
Et je dessinais dans mes cahiers
Les sentiers secrets
Des montagnes d’Espagne
Gitan
Quand plus tard
J’apprenais mes premiers accords de guitare
Sur la route je partais sans bagages
En rêvant
D’autres paysages
Où je suivais les gens du voyage
Dans leurs caravanes
Au son des violons tziganes
Vivre ma vie comme un gitan
Avoir la musique dans le sang
Et pour l’amour n’avoir dans la peau
Qu’une seule femme à la fois
Vivre ma vie comme un gitan
Vivre ma vie comme je l’entends
Avoir la liberté pour drapeau
« Sans foi ni loi » pour credo
Gitan
Je le suis et le resterai
Le temps de mon vivant
Mes guitares sont d’Amérique
Et mes paysages
De grands espaces blancs
Où je roule seul dans ma caravane
En éternel exil
Dans la jungle des villes
Oh vivre ma vie comme un gitan
Avoir la musique dans le sang
Et pour l’amour n’avoir dans la peau
Qu’une seule femme à la fois
Vivre ma vie comme un gitan
Vivre ma vie comme je l’entends
Avoir la liberté pour drapeau
« Sans foi ni loi » pour credo
Laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï
Oh vivre ma vie comme un gitan
Avoir la musique dans le sang
Et pour l’amour n’avoir dans la peau
Qu’une seule femme à la fois
Laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï
Vivre ma vie comme un gitan
Gagner ma vie de l’air du temps
Avoir la liberté pour drapeau
« Sans foi ni loi » pour credo
J Clerc / J Roussell / L Plamondon
3. Que l'amour est violent +
Et juste au moment où j’étais bien tout seul
Tu m’arrives comme un coup d’poing sur la gueule
L’autoroute de ma vie filait tout droit devant
Notre rencontre est un accident
J’ai envie de crier comme un nouveau-né
De hurler comme un animal traqué
Que l’amour est violent
Mais violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Que l’amour est violent
Violent par dedans
J’ai erré sur les routes et au coeur des villes
Connu des madones et des filles faciles
Devant toi tout à coup je tombe à genoux
Du coup tu me passes la corde au cou
L’amour ne vient jamais là où on l’attendait
Je l’ai cherché mais sans le trouver
Quand ça vous surprend comme un coup de sang
On redevient adolescent
T’aimer me rend violent
Me rend violent
Me rend violent
Parc’que la vérité ne ressemble à rien
Tu me ferais marcher sur les mains
Si tu me demandais de croire à demain
Je me retournerais contre mon destin
Tu me ferais planter des fleurs dans ton jardin
Et m’endormir dans des draps de satin
Que l’amour est violent
Mais violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Que l’amour est violent
Violent par dedans
Tu me rends jaloux, me rend fou
Je tire sur le premier qui bouge
Prends garde à moi quand je vois rouge
Même si je suis doux comme un loup
Et si tu me fais la vie dure
Au lieu de frapper dans les murs
J’irai vers d’autres aventures
Chercher l’homme libre que j’étais
Avant de tomber devant ta beauté
Et juste au moment où j’étais bien tout seul
Tu m’arrives comme un coup d’poing sur la gueule
L’autoroute de ma vie filait tout droit devant
Notre rencontre est un accident
J’ai envie de crier comme un nouveau-né
De hurler comme un animal traqué
Que l’amour est violent
Violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Que l’amour est violent
Violent par dedans
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
Mais quand tu te rends à mes caresses
Ma violence se change en tendresse
Que l’amour est violent
Violent par dedans
LUC PLAMONDON, ALDO NOVA CAPORUSCIO, RICK VARAG
4. La bohème +
Je vous parle d’un temps
Que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
Montmartre, en ce temps-là, accrochait’ses lilas jusque sous nos fenêtres
Et si l’humble garni qui nous servait de nid ne payait pas de mine
C’est là qu’on s’est connu, oi qui criait famine et toi qui posais nue.
La bohème, la bohème, ça voulait dire, on est heureux.
La bohème, la bohème, nous ne mangions qu’un jour sur deux.
Souvent il m’arrivait, devant mon chevalet, de passer des nuits blanches
Retouchant des dessins de la ligne d’un sein, du galbe d’une hanche
Et ce n’est qu’au matin qu’on s’asseyait enfin devant un café-crème
Epuisés mais ravis, fallait-il qu’on s’aime et qu’on aime la vie
La bohème, la bohème, ça voulait dire, tu es jolie.
La bohème, la bohème et nous avions tous du génie.
Dans les cafés voisins, nous étions quelques-uns qui attendions la gloire
Et bien que miséreux, avec le ventre creux, nous ne cessions d’y croire
Et quand quelque bistrot
Contre un bon repas chaud, nous prenait une toile
Nous récitions des vers, groupés autour du poêle en attendant l’hiver.
La bohème, la bohème, ça voulait dire, on a vingt ans.
La bohème, la bohème et nous vivions de l’air du temps.
Quand au hasard des jours
Je m’en vais faire un tour à mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus ni les murs, ni les rues qui ont vu ma jeunesse.
Du haut d’un escalier, je revois l’atelier dont plus rien ne subsiste.
Dans son nouveau décor, Montmartre semble triste et les lilas sont morts
Oh, la bohème, la bohème, ça voulait dire que vous chantez bien.
La bohème, la bohème, et nous avions tous du génie.
La bohème, la bohème, ça voulait dire, vous étiez jolis.
La bohème, la bohème, ça ne veut plus rien dire.
Ça ne veut plus rien dire du tout.
Jacques Plante / Charles Aznavour
5. Au plaisir de ton corps +
Je te désire encore
Je te désire plus fort qu’au premier jour
Au plaisir de ton corps
Je prendrai la mesure de ton amour
Tu m’as blessé
Tu m’as bafoué
Tu m’as brisé
Et tu veux revenir
J’ai pardonné
J’ai oublié
J’ai espéré
Mais pourquoi me mentir
Non non non non
Mort
Si dans ton corps
L’amour est mort
Ne dis pas
Qu’tu m’aimes encore
Nord
Perdu le nord
Changer de port
Pour partir
Chacun son bord
Non non non non non non non non non
Si dans ton corps l’amour est mort
Ne dis pas que tu m’aimes encore
Je n’me contenterai pas
Ni de ta pitié ni de ta tendresse
J’ai besoin de tes bras
De l’animalité de tes caresses
Tu m’as trompé
Tu m’as quitté
Tu m’as traité
Comm’ le dernier venu
J’ai déprimé
Déraisonné
J’ai décroché
Je ne t’attendais plus
Non non non non
Non non non non non non non non non
Si dans ton corps
L’amour est mort
Ne dis pas
Qu’tu m’aimes encore
J’ai le cœur déchiré
De te voir partir une autre fois
Je t’ai tellement aimée
Mais l’amour ne peut pas mourir deux fois
Mort
Si dans ton corps l’amour est mort
Ne dis pas que tu m’aimes encore
Non non non non non non non non non
Si dans ton corps l’amour est mort
Ne dis pas que tu m’aimes encore
Si dans ton corps l’amour est mort
Si dans ton corps l’amour est mort
Nova / Plamondon / Virag
6. Ce soir on danse à Naziland +
Sur les buildings de cent étages
I’ve got the whole world in my hand
Au cent vingt-et-unième étage
Ce soir on danse
Ce soir on danse
On danse au Naziland
Roger-Roger
Paris, Madrid, London, Lisbonne
Mexico, Montréal, Buenos Aires et Bonn
Toutes les capitales
Du monde occidental
Tombent une à une dans la corbeille
De ce nouveau Roi-Soleil
Il ne manque plus que Washington
Comme joyau à sa couronne
On vit déjà cent pieds sous terre
C’est le retour aux catacombes
C’est le retour aux catacombes
Entre les murs des grandes artères
L’homme ne voit plus jamais son ombre
La ville a étendu ses ailes
Étendu ses ailes
Plamondon / Berger
7. Demande au Soleil +
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Je traverse des océans de sang
Je croise le fer avec les anges de l’enfer
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m’appelles
Attends-moi
Ou que tu sois
J’irai te chercher
Et te retrouver
Demande au soleil
Demande au soleil et aux étoiles
Oh! Si je t’ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh! Si tu m’as manqué
Demande aux montagnes ou j’ai erré
Combien de nuits, combien de jours
Demande aux rivières que j’ai pleurées
Demande au soleil
Le chemin qu’on avait fait ensemble
Je le refais à l’endroit à l’envers
T’avais pas l’droit de t’en aller loin de moi
De me laisser seul dans cet Univers
Qu’est-ce que j’ai fait pour qu’on m’enlève
Ma vie, mon amour et mes reves?
Je te rejoindrai
Mais dans quelles contrées?
Demande au soleil.
Demande au soleil et aux étoiles
Oh! Si je t’ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh! Si tu m’as manqué
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m’enterrer
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m’appelles
Demande au soleil et aux étoiles
Oh! Si tu m’as manqué
Demande aux montagnes au j’ai erré
Conbien de nuits conbien de jours
Demand aux rivières que j’ai pleurées
Demande au soleil
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m’enterrer
Demande au soleil
Demande au soleil…
Romano Musumarra / Luc Plamondon
8. Belle medley +
Belle, c’est un mot qu’on dirait inventé pour elle
Quand elle danse et qu’elle met son corps à jour, tel
Un oiseau qui étend ses ailes pour s’envoler
Alors je sens l’enfer s’ouvrir sous mes pieds
J’ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame?
Quel est celui qui lui jettera la première pierre?
Celui-là ne mérite pas d’être sur terre
Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu’une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d’Esmeralda
Belle, est-ce le diable qui s’est incarné en elle
Pour détourner mes yeux du Dieu éternel?
Qui a mis dans mon être ce désir charnel
Pour m’empêcher de regarder vers le Ciel?
Elle porte en elle le péché originel
La désirer fait-il de moi un criminel?
Celle qu’on prenait pour une fille de joie, une fille de rien
Semble soudain porter la croix du genre humain
Ô Notre-Dame! Oh! Laisse-moi rien qu’une fois
Pousser la porte du jardin d’Esmeralda
Belle, malgré ses grands yeux noirs qui vous ensorcellent
La demoiselle serait-elle encore pucelle?
Quand ses mouvements me font voir monts et merveilles
Sous son jupon aux couleurs de l’arc-en-ciel
Ma dulcinée laissez-moi vous être infidèle
Avant de vous avoir mené jusqu’à l’autel
Quel est l’homme qui détournerait son regard d’elle
Sous peine d’être changé en statue de sel?
Ô Fleur-de-Lys! Je ne suis pas homme de foi
J’irai cueillir la fleur d’amour d’Esmeralda
J’ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame
Quel est celui qui lui jettera la première pierre
Celui-là ne mérite pas d’être sur terre
Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu’une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d’Esmeralda, Esmeralda.
RICCARDO COCCIANTE, LUC PLAMONDON
9. Au bout de mes rêves +
Et même si le temps presse
Même s’il est un peu court
Si les années qu’on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l’on m’arrête
Ou s’il faut briser des murs
En soufflant dans des trompettes
Ou à force de murmures
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s’il faut partir
Changer de terre ou de trace
S’il faut chercher dans l’exil
L’empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais, les courants
Nous feront courber la tête
Plier genoux sous le vent
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d’un mauvais détour
En ces moments où l’on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi, tout au fond
Mais au-dessus je te jure
Que j’effacerai ton nom
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Jean-Jacques Goldman
10. You Can Leave Your Hat On +
Baby, take off your coat (real slow)
Baby, take off your shoes (here, I’ll take your shoes)
Baby, take off your dress
Yes, yes, yes
You can leave your hat on
You can leave your hat on
You can leave your hat on
Go on over there and turn on the light, no, all the lights
Now come back here and stand on this chair, that’s right
Raise your arms up in to the air, shake ’em
You give me a reason to live
You give me a reason to live
You give me a reason to live
Suspicious minds are talking
Trying to tear us apart
They say that my love is wrong
They don’t know what love is
They don’t know what love is
They don’t know what love is
They don’t know what love is
I know what love is
Randy Newman
11. Medley R&B +
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene, (get on up), like a sex machine, (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene (get on up), like a sex machine, (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up) get up (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene (get on up), like a sex machine, (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene (get on up), everybody
Get up, (get on up) get up (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up), one, two, three, four
Everybody needs somebody
Everybody needs somebody to love, someone to love
Sweetheart to miss, sugar to kiss
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
In the morning when my soul’s on fire
Sometimes I feel, I feel a little sad inside
When my baby mistreats me
I never never never have a place to hide
I need you, I need you, I need you, I need you
Vous êtes le meilleur public!
À la batterie, Sébastien Langlois!
On the trumpet, mister Roger Walls!
Au saxo, Dany Lenoir!
Julie Leblanc, Grégoire Morancy, Elise Duguet, Michel Ferrari
Francesco Vedecchia, à la direction musicale
Mesdemoiselles, mesdames, faites-lui un énorme triomphe!
Direction musicale et à la guitare, mister Eric Roch!
Everybody needs somebody, everybody needs somebody
Everybody needs somebody, everybody needs somebody
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you, I need you
Well, I feel alright, I feel alright, alright
You know you make me wanna shout, kick my heels up and shout
Throw my hands up and shout, throw my head back and shout
Come on now, shout, don’t forget to say you will
Don’t forget to say yeah yeah yeah
(Say you will) Say it right now (Say you will) Say it right now
(Say you will) Say it right now, shout shout, got to shout it out
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout, kick my heels up and shout
Throw my hands up and shout, throw my head back and shout
Come on now, shout, don’t forget to say you will
Shout, shout, shout, shout, shout, shout, shout…
Yeah yeah, yeah yeah, yeah yeah, yeah yeah…
Gotta shout it now…
Whoa ! I feel good, I knew that I would, now
I feel good, I knew that I would, now, so good, so good, I got you
Whoa ! I feel nice, like sugar and spice
I feel nice, like sugar and spice, so nice, so nice, I got you
So good, so good, I got you, so good, so good, I got you
So good, so good, I got you, so good, so good, I got you
So good, so good, I got you, hey !
12. Dieu que le monde est injuste. . . +
Dieu que le monde est injuste
Lui si beau et moi si laid
Je te donnerais la lune
Tu ne voudrais pas m’aimer
Et lui sans faire un seul geste
Sans un mot, sans un regard
Il a mis de la tendresse
Au fond de tes grands yeux noirs
Tu lui donneras ton corps
Tu croiras à ses serments
Tu l’aimes pour le dehors
Sans voir ce qu’il y a dedans
Dieu que le monde est injuste
Lui seigneur et moi vaurien
Il te donnera la lune
Toi qui ne demandais rien
Dieu que le monde est injuste
Aime ton beau cavalier
La satin de ta peau brune
N’est pas pour les va-nu-pieds
Ma laideur est une insulte
À ta beauté insolente
Une erreur de la nature
Qui ne me fut pas aimante
Dieu que le monde est injuste
Notre lot n’est pas le leur
Nous n’avons pas de fortune
Mais eux, ont-ils donc un cœur?
Ils sont nés dans la dentelle
Pour faire l’amour et la guerre
Mais nous pauvres vers de terre
Notre vie est bien plus belle
Et de quel côté est Dieu
Du côté des ostensoirs
Ou bien du côté de ceux
Qui le prient matin et soir?
Ce Jésus que l’on adore
A-t-il toujours préféré
Les Rois Mages avec leur or
À nous autres pauvres bergers?
Dieu que la vie est cruelle
Pour deux cœurs qui se cherchaient
Moi si laid et toi si belle
Comment pourrais-tu m’aimer?
Luc Plamondon
13. Seul +
Tant de fois j’ai tenté
D’aller toucher les étoiles
Que souvent en tombant
Je m’y suis fait mal
Tant de fois j’ai pensé
Avoir franchi les limites
Mais toujours une femme
M’a remis en orbite
Tant de fois j’ai grimpé
Jusqu’au plus haut des cimes
Que je m’suis retrouvé
Seul au fond de l’abîme
Seul au fond de l’abîme
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais
Tant d’amis sont partis
Du jour au lendemain
Que je sais aujourd’hui
Qu’on peut mourir demain
On a beau tout avoir
L’argent l’amour, la gloire
Il y a toujours un soir
Où l’on se retrouve seul
Seul au point de départ
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulemetn aimer
Peut-il aimer jamais
Tant de fois j’ai été
Jusqu’au bout de mes rêves
Que je continuerai
Jusqu’à ce que j’en crève
Que je continuerai
Que je continuerai
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Peut-il seulement aimer
Jamais, jamais
Je continuerai
Je continuerai
Peut-il jamais aimer…
MUSUMARRA ROMANO / PLAMONDON LUC
14. Le monde est stone +
J’ai la tête qui éclate
J’voudrais seulement dormir
M’étendre sur l’asphalte
Et me laisser mourir
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
Qui tourne à l’envers
Ou bien si c’est moi
Qui m’fais du cinéma
Qui m’fais mon cinéma
J’ai plus envie d’me battre
J’ai plus envie d’courir
Comme tous ces automates
Qui bâtissent des empires
Que le vent peut détruire
Comme des châteaux de cartes
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
J’ai la tête qui éclate
J’voudrais seulement dormir
M’étendre sur l’asphalte
Et me laisser mourir
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
Qui tourne à l’envers
Ou bien si c’est moi
Qui m’fais du cinéma
Qui m’fais mon cinéma
J’ai plus envie d’me battre
J’ai plus envie d’courir
Comme tous ces automates
Qui bâtissent des empires
Que le vent peut détruire
Comme des châteaux de cartes
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
Stone, le monde est stone
Luc Plamondon / Michel Berger
Seul… avec vous
Seul… avec vous / 2001
Les chansons
1. Je n'attendais que vous +
On garde un soleil
Au fond de nous,
Un feu qu’on réveille
Malgré tout,
Malgré les douleurs d’hier
Tout à coup on espère
Au hasard d’un jour
Pareil aux autres,
On se sent moins lourd,
La vie nous porte
Pour un regard de lumière
Un seul aveu à faire
Je n’attendais que vous
Je n’espérais que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n’attendais que vous
Nulle autre que vous
J’attendais votre voix, vos soupirs
Donnez-moi votre air, qu’enfin je respire
On garde un peu d’or
Au fond de l’âme
Mais le temps dévore,
Éteint la flamme,
Jusqu’à ce jour de hasard
Et soudain on repart
On remplit nos yeux
D’autres couleurs,
Est-ce qu’on y voit mieux?
Est-ce qu’on est meilleur?
Quand tout redevient si clair
Un seul aveu à faire
Je n’attendais que vous
Je n’espérais que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde est trop grand
Trop long le chemin
Je n’attendais que vous
Nulle autre que vous
J’attendais votre voix, vos soupirs
Donnez-moi votre air, qu’enfin je respire
Vous
Je n’attendais que vous
Je n’espérais que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
Le monde était grand
Et long le chemin
Je n’attendais que vous
Nulle autre que vous
J’attendais votre voix, vos soupirs
Donnez-moi votre air, qu’enfin je respire
Et nulle autre que vous
J’ai marché si longtemps
Je viens de loin
J’en ai mis du temps pour trouver vos mains
Vous Vous
2. Gitan +
Gitan
Je rêvais enfant
De vivre libre comme un gitan
Je voyais des plages
De sable noir
Où couraient des chevaux sauvages
Et je dessinais dans mes cahiers
Les sentiers secrets
Des montagnes d’Espagne
Gitan
Quand plus tard
J’apprenais mes premiers accords de guitare
Sur la route je partais sans bagages
En rêvant
D’autres paysages
Où je suivais les gens du voyage
Dans leurs caravanes
Au son des violons tziganes
Vivre ma vie comme un gitan
Avoir la musique dans le sang
Et pour l’amour n’avoir dans la peau
Qu’une seule femme à la fois
Vivre ma vie comme un gitan
Vivre ma vie comme je l’entends
Avoir la liberté pour drapeau
« Sans foi ni loi » pour credo
Gitan
Je le suis et le resterai
Le temps de mon vivant
Mes guitares sont d’Amérique
Et mes paysages
De grands espaces blancs
Où je roule seul dans ma caravane
En éternel exil
Dans la jungle des villes
Oh vivre ma vie comme un gitan
Avoir la musique dans le sang
Et pour l’amour n’avoir dans la peau
Qu’une seule femme à la fois
Vivre ma vie comme un gitan
Vivre ma vie comme je l’entends
Avoir la liberté pour drapeau
« Sans foi ni loi » pour credo
Laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï
Oh vivre ma vie comme un gitan
Avoir la musique dans le sang
Et pour l’amour n’avoir dans la peau
Qu’une seule femme à la fois
Laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï laï laï laï
Laï laï laï laï laï laï
Vivre ma vie comme un gitan
Gagner ma vie de l’air du temps
Avoir la liberté pour drapeau
« Sans foi ni loi » pour credo
3. Que l'amour est violent +
Et juste au moment où j’étais bien tout seul
Tu m’arrives comme un coup d’poing sur la gueule
L’autoroute de ma vie filait tout droit devant
Notre rencontre est un accident
J’ai envie de crier comme un nouveau-né
De hurler comme un animal traqué
Que l’amour est violent
Mais violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Que l’amour est violent
Violent par dedans
J’ai erré sur les routes et au coeur des villes
Connu des madones et des filles faciles
Devant toi tout à coup je tombe à genoux
Du coup tu me passes la corde au cou
L’amour ne vient jamais là où on l’attendait
Je l’ai cherché mais sans le trouver
Quand ça vous surprend comme un coup de sang
On redevient adolescent
T’aimer me rend violent
Me rend violent
Me rend violent
Parc’que la vérité ne ressemble à rien
Tu me ferais marcher sur les mains
Si tu me demandais de croire à demain
Je me retournerais contre mon destin
Tu me ferais planter des fleurs dans ton jardin
Et m’endormir dans des draps de satin
Que l’amour est violent
Mais violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Que l’amour est violent
Violent par dedans
Tu me rends jaloux, me rend fou
Je tire sur le premier qui bouge
Prends garde à moi quand je vois rouge
Même si je suis doux comme un loup
Et si tu me fais la vie dure
Au lieu de frapper dans les murs
J’irai vers d’autres aventures
Chercher l’homme libre que j’étais
Avant de tomber devant ta beauté
Et juste au moment où j’étais bien tout seul
Tu m’arrives comme un coup d’poing sur la gueule
L’autoroute de ma vie filait tout droit devant
Notre rencontre est un accident
J’ai envie de crier comme un nouveau-né
De hurler comme un animal traqué
Que l’amour est violent
Violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Que l’amour est violent
Violent par dedans
Violent comme un volcan
Violent par dedans
L’amour est violent
Violent comme un volcan
Violent par dedans
Mais quand tu te rends à mes caresses
Ma violence se change en tendresse
Que l’amour est violent
Violent par dedans
4. La bohème +
Je vous parle d’un temps
Que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
Montmartre, en ce temps-là, accrochait’ses lilas jusque sous nos fenêtres
Et si l’humble garni qui nous servait de nid ne payait pas de mine
C’est là qu’on s’est connu, oi qui criait famine et toi qui posais nue.
La bohème, la bohème, ça voulait dire, on est heureux.
La bohème, la bohème, nous ne mangions qu’un jour sur deux.
Souvent il m’arrivait, devant mon chevalet, de passer des nuits blanches
Retouchant des dessins de la ligne d’un sein, du galbe d’une hanche
Et ce n’est qu’au matin qu’on s’asseyait enfin devant un café-crème
Epuisés mais ravis, fallait-il qu’on s’aime et qu’on aime la vie
La bohème, la bohème, ça voulait dire, tu es jolie.
La bohème, la bohème et nous avions tous du génie.
Dans les cafés voisins, nous étions quelques-uns qui attendions la gloire
Et bien que miséreux, avec le ventre creux, nous ne cessions d’y croire
Et quand quelque bistrot
Contre un bon repas chaud, nous prenait une toile
Nous récitions des vers, groupés autour du poêle en attendant l’hiver.
La bohème, la bohème, ça voulait dire, on a vingt ans.
La bohème, la bohème et nous vivions de l’air du temps.
Quand au hasard des jours
Je m’en vais faire un tour à mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus ni les murs, ni les rues qui ont vu ma jeunesse.
Du haut d’un escalier, je revois l’atelier dont plus rien ne subsiste.
Dans son nouveau décor, Montmartre semble triste et les lilas sont morts
Oh, la bohème, la bohème, ça voulait dire que vous chantez bien.
La bohème, la bohème, et nous avions tous du génie.
La bohème, la bohème, ça voulait dire, vous étiez jolis.
La bohème, la bohème, ça ne veut plus rien dire.
Ça ne veut plus rien dire du tout.
5. Au plaisir de ton corps +
Je te désire encore
Je te désire plus fort qu’au premier jour
Au plaisir de ton corps
Je prendrai la mesure de ton amour
Tu m’as blessé
Tu m’as bafoué
Tu m’as brisé
Et tu veux revenir
J’ai pardonné
J’ai oublié
J’ai espéré
Mais pourquoi me mentir
Non non non non
Mort
Si dans ton corps
L’amour est mort
Ne dis pas
Qu’tu m’aimes encore
Nord
Perdu le nord
Changer de port
Pour partir
Chacun son bord
Non non non non non non non non non
Si dans ton corps l’amour est mort
Ne dis pas que tu m’aimes encore
Je n’me contenterai pas
Ni de ta pitié ni de ta tendresse
J’ai besoin de tes bras
De l’animalité de tes caresses
Tu m’as trompé
Tu m’as quitté
Tu m’as traité
Comm’ le dernier venu
J’ai déprimé
Déraisonné
J’ai décroché
Je ne t’attendais plus
Non non non non
Non non non non non non non non non
Si dans ton corps
L’amour est mort
Ne dis pas
Qu’tu m’aimes encore
J’ai le cœur déchiré
De te voir partir une autre fois
Je t’ai tellement aimée
Mais l’amour ne peut pas mourir deux fois
Mort
Si dans ton corps l’amour est mort
Ne dis pas que tu m’aimes encore
Non non non non non non non non non
Si dans ton corps l’amour est mort
Ne dis pas que tu m’aimes encore
Si dans ton corps l’amour est mort
Si dans ton corps l’amour est mort
6. Ce soir on danse à Naziland +
Sur les buildings de cent étages
I’ve got the whole world in my hand
Au cent vingt-et-unième étage
Ce soir on danse
Ce soir on danse
On danse au Naziland
Roger-Roger
Paris, Madrid, London, Lisbonne
Mexico, Montréal, Buenos Aires et Bonn
Toutes les capitales
Du monde occidental
Tombent une à une dans la corbeille
De ce nouveau Roi-Soleil
Il ne manque plus que Washington
Comme joyau à sa couronne
On vit déjà cent pieds sous terre
C’est le retour aux catacombes
C’est le retour aux catacombes
Entre les murs des grandes artères
L’homme ne voit plus jamais son ombre
La ville a étendu ses ailes
Étendu ses ailes
7. Demande au Soleil +
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Je traverse des océans de sang
Je croise le fer avec les anges de l’enfer
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m’appelles
Attends-moi
Ou que tu sois
J’irai te chercher
Et te retrouver
Demande au soleil
Demande au soleil et aux étoiles
Oh! Si je t’ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh! Si tu m’as manqué
Demande aux montagnes ou j’ai erré
Combien de nuits, combien de jours
Demande aux rivières que j’ai pleurées
Demande au soleil
Le chemin qu’on avait fait ensemble
Je le refais à l’endroit à l’envers
T’avais pas l’droit de t’en aller loin de moi
De me laisser seul dans cet Univers
Qu’est-ce que j’ai fait pour qu’on m’enlève
Ma vie, mon amour et mes reves?
Je te rejoindrai
Mais dans quelles contrées?
Demande au soleil.
Demande au soleil et aux étoiles
Oh! Si je t’ai aimée
Demande à la lune de témoigner
Oh! Si tu m’as manqué
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m’enterrer
Dans mes nuits je vois des murs de feu
Et mes jours sont un long tunnel
Au bout duquel
Tu m’appelles
Demande au soleil et aux étoiles
Oh! Si tu m’as manqué
Demande aux montagnes au j’ai erré
Conbien de nuits conbien de jours
Demand aux rivières que j’ai pleurées
Demande au soleil
Demande à la mer de me noyer
Si je trahissais notre amour
Demande à la terre de m’enterrer
Demande au soleil
Demande au soleil…
8. Belle medley +
Belle, c’est un mot qu’on dirait inventé pour elle
Quand elle danse et qu’elle met son corps à jour, tel
Un oiseau qui étend ses ailes pour s’envoler
Alors je sens l’enfer s’ouvrir sous mes pieds
J’ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame?
Quel est celui qui lui jettera la première pierre?
Celui-là ne mérite pas d’être sur terre
Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu’une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d’Esmeralda
Belle, est-ce le diable qui s’est incarné en elle
Pour détourner mes yeux du Dieu éternel?
Qui a mis dans mon être ce désir charnel
Pour m’empêcher de regarder vers le Ciel?
Elle porte en elle le péché originel
La désirer fait-il de moi un criminel?
Celle qu’on prenait pour une fille de joie, une fille de rien
Semble soudain porter la croix du genre humain
Ô Notre-Dame! Oh! Laisse-moi rien qu’une fois
Pousser la porte du jardin d’Esmeralda
Belle, malgré ses grands yeux noirs qui vous ensorcellent
La demoiselle serait-elle encore pucelle?
Quand ses mouvements me font voir monts et merveilles
Sous son jupon aux couleurs de l’arc-en-ciel
Ma dulcinée laissez-moi vous être infidèle
Avant de vous avoir mené jusqu’à l’autel
Quel est l’homme qui détournerait son regard d’elle
Sous peine d’être changé en statue de sel?
Ô Fleur-de-Lys! Je ne suis pas homme de foi
J’irai cueillir la fleur d’amour d’Esmeralda
J’ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame
Quel est celui qui lui jettera la première pierre
Celui-là ne mérite pas d’être sur terre
Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu’une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d’Esmeralda, Esmeralda.
9. Au bout de mes rêves +
Et même si le temps presse
Même s’il est un peu court
Si les années qu’on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l’on m’arrête
Ou s’il faut briser des murs
En soufflant dans des trompettes
Ou à force de murmures
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s’il faut partir
Changer de terre ou de trace
S’il faut chercher dans l’exil
L’empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais, les courants
Nous feront courber la tête
Plier genoux sous le vent
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d’un mauvais détour
En ces moments où l’on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi, tout au fond
Mais au-dessus je te jure
Que j’effacerai ton nom
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
10. You Can Leave Your Hat On +
Baby, take off your coat (real slow)
Baby, take off your shoes (here, I’ll take your shoes)
Baby, take off your dress
Yes, yes, yes
You can leave your hat on
You can leave your hat on
You can leave your hat on
Go on over there and turn on the light, no, all the lights
Now come back here and stand on this chair, that’s right
Raise your arms up in to the air, shake ’em
You give me a reason to live
You give me a reason to live
You give me a reason to live
Suspicious minds are talking
Trying to tear us apart
They say that my love is wrong
They don’t know what love is
They don’t know what love is
They don’t know what love is
They don’t know what love is
I know what love is
11. Medley R&B +
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene, (get on up), like a sex machine, (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene (get on up), like a sex machine, (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up) get up (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene (get on up), like a sex machine, (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up)
Stay on the scene (get on up), everybody
Get up, (get on up) get up (get on up)
Get up, (get on up) get up (get on up), one, two, three, four
Everybody needs somebody
Everybody needs somebody to love, someone to love
Sweetheart to miss, sugar to kiss
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
In the morning when my soul’s on fire
Sometimes I feel, I feel a little sad inside
When my baby mistreats me
I never never never have a place to hide
I need you, I need you, I need you, I need you
Vous êtes le meilleur public!
À la batterie, Sébastien Langlois!
On the trumpet, mister Roger Walls!
Au saxo, Dany Lenoir!
Julie Leblanc, Grégoire Morancy, Elise Duguet, Michel Ferrari
Francesco Vedecchia, à la direction musicale
Mesdemoiselles, mesdames, faites-lui un énorme triomphe!
Direction musicale et à la guitare, mister Eric Roch!
Everybody needs somebody, everybody needs somebody
Everybody needs somebody, everybody needs somebody
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you
I need you you you, I need you you you, I need you
Well, I feel alright, I feel alright, alright
You know you make me wanna shout, kick my heels up and shout
Throw my hands up and shout, throw my head back and shout
Come on now, shout, don’t forget to say you will
Don’t forget to say yeah yeah yeah
(Say you will) Say it right now (Say you will) Say it right now
(Say you will) Say it right now, shout shout, got to shout it out
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout
You know you make me wanna shout, kick my heels up and shout
Throw my hands up and shout, throw my head back and shout
Come on now, shout, don’t forget to say you will
Shout, shout, shout, shout, shout, shout, shout…
Yeah yeah, yeah yeah, yeah yeah, yeah yeah…
Gotta shout it now…
Whoa ! I feel good, I knew that I would, now
I feel good, I knew that I would, now, so good, so good, I got you
Whoa ! I feel nice, like sugar and spice
I feel nice, like sugar and spice, so nice, so nice, I got you
So good, so good, I got you, so good, so good, I got you
So good, so good, I got you, so good, so good, I got you
So good, so good, I got you, hey !
12. Dieu que le monde est injuste. . . +
Dieu que le monde est injuste
Lui si beau et moi si laid
Je te donnerais la lune
Tu ne voudrais pas m’aimer
Et lui sans faire un seul geste
Sans un mot, sans un regard
Il a mis de la tendresse
Au fond de tes grands yeux noirs
Tu lui donneras ton corps
Tu croiras à ses serments
Tu l’aimes pour le dehors
Sans voir ce qu’il y a dedans
Dieu que le monde est injuste
Lui seigneur et moi vaurien
Il te donnera la lune
Toi qui ne demandais rien
Dieu que le monde est injuste
Aime ton beau cavalier
La satin de ta peau brune
N’est pas pour les va-nu-pieds
Ma laideur est une insulte
À ta beauté insolente
Une erreur de la nature
Qui ne me fut pas aimante
Dieu que le monde est injuste
Notre lot n’est pas le leur
Nous n’avons pas de fortune
Mais eux, ont-ils donc un cœur?
Ils sont nés dans la dentelle
Pour faire l’amour et la guerre
Mais nous pauvres vers de terre
Notre vie est bien plus belle
Et de quel côté est Dieu
Du côté des ostensoirs
Ou bien du côté de ceux
Qui le prient matin et soir?
Ce Jésus que l’on adore
A-t-il toujours préféré
Les Rois Mages avec leur or
À nous autres pauvres bergers?
Dieu que la vie est cruelle
Pour deux cœurs qui se cherchaient
Moi si laid et toi si belle
Comment pourrais-tu m’aimer?
13. Seul +
Tant de fois j’ai tenté
D’aller toucher les étoiles
Que souvent en tombant
Je m’y suis fait mal
Tant de fois j’ai pensé
Avoir franchi les limites
Mais toujours une femme
M’a remis en orbite
Tant de fois j’ai grimpé
Jusqu’au plus haut des cimes
Que je m’suis retrouvé
Seul au fond de l’abîme
Seul au fond de l’abîme
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulement aimer
Peut-il aimer jamais
Tant d’amis sont partis
Du jour au lendemain
Que je sais aujourd’hui
Qu’on peut mourir demain
On a beau tout avoir
L’argent l’amour, la gloire
Il y a toujours un soir
Où l’on se retrouve seul
Seul au point de départ
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Peut-il seulemetn aimer
Peut-il aimer jamais
Tant de fois j’ai été
Jusqu’au bout de mes rêves
Que je continuerai
Jusqu’à ce que j’en crève
Que je continuerai
Que je continuerai
Celui qui n’a jamais été seul
Au moins une fois dans sa vie
Seul au fond de son lit
Seul au bout de la nuit
Peut-il seulement aimer
Jamais, jamais
Je continuerai
Je continuerai
Peut-il jamais aimer…
14. Le monde est stone +
J’ai la tête qui éclate
J’voudrais seulement dormir
M’étendre sur l’asphalte
Et me laisser mourir
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
Qui tourne à l’envers
Ou bien si c’est moi
Qui m’fais du cinéma
Qui m’fais mon cinéma
J’ai plus envie d’me battre
J’ai plus envie d’courir
Comme tous ces automates
Qui bâtissent des empires
Que le vent peut détruire
Comme des châteaux de cartes
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
J’ai la tête qui éclate
J’voudrais seulement dormir
M’étendre sur l’asphalte
Et me laisser mourir
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
Qui tourne à l’envers
Ou bien si c’est moi
Qui m’fais du cinéma
Qui m’fais mon cinéma
J’ai plus envie d’me battre
J’ai plus envie d’courir
Comme tous ces automates
Qui bâtissent des empires
Que le vent peut détruire
Comme des châteaux de cartes
Stone le monde est stone
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit
J’sais pas si c’est la terre
Stone, le monde est stone